top of page

Résultats de recherche

18 éléments trouvés pour «  »

  • 🌳 HAIE : Atelier Taille de l’arbre champêtre [61]

    Vous avez planté une haie il y a moins de 5 ans, cet atelier est pour vous ! Pour avoir de beaux arbres comme les anciens nous ont laissés dans les haies, et aussi pour ne pas gêner les machines agricoles, il est important de « former » les jeunes arbres dès le plus jeune âge. Le matin, nous partagerons les différentes techniques de taille des jeunes haies : formation, élagage, recépage pour les hauts jets, cépées et trognes, et l’après-midi nous passerons à la pratique. 💬 Animé par : Perrine Prével, Technicien Conseil en Agroforesterie à Bois Bocage Énergie (SCIC) Deux dates possibles : 📅 RDV le jeudi 22 février de 9h30 à 17h30 (max. 15 personnes) Au GAEC du Grand Ros, le Grand Ros, 61100 SAINTE-OPPORTUNE 📍 Pour vous inscrire, c’est ici : https://forms.gle/sH5UFK7vw1zZPKRo9 70€ HT / 84€ TTC la journée par personne – Règlement par virement ou courrier avant le 31 janvier 📅 RDV le samedi 17 février de 9h30 à 17h30 (max. 15 personnes)  - proposé par le Parc Normandie Maine à l'EARL de Saint-Léonard, lieu dit Saint-Léonard, 61 600 Beauvain 📍 Pour vous inscrire, c’est ici : mariette.petitjean@parc-normandie-maine.fr Formation ouverte à tous les agriculteurs et particuliers (financé par le Parc Normandie Maine) Taille de formation / Taille de jeune haie / Formation d'arbres champêtres / Agroforesterie / Normandie / haie / bocage / Orne

  • Visite en Normandie pour le collectif

    La semaine dernière le collectif pour la création du Label "Bois Bocager Géré Durablement" était en Normandie. Au programme, visites d'exploitations, démonstrations d'outils, travail sur les cahiers des charges producteurs et revendeurs. La labellisation du producteur doit permettre : De valoriser le travail de gestion durable du producteur, D’apporter aux différents acteurs du marché de la transparence dans la chaîne de gestion et de production du bois de bocage, D’apporter aux différents acteurs du marché la sécurité et la traçabilité de la labellisation autour des la gestion durable du bocage, De bénéficier de nouveaux débouchés pour mieux vendre le bois de bocage, De répondre aux préoccupations des consommateurs et aux exigences des pouvoirs publics. La labellisation du revendeur doit permettre : De garantir aux différents acteurs du marché la traçabilité des volumes ou lots labellisés et vendus par le revendeur D’apporter aux différents acteurs du marché la sécurité de la labellisation « bois de bocage durablement géré » De bénéficier de nouveaux débouchés pour mieux vendre le bois de bocage De répondre aux préoccupations des consommateurs et aux exigences des pouvoirs publics, De faciliter l’accès aux appels d’offre des marchés publics. Ces cahiers des charges seront construits à partir d’indicateurs qui seront à débattre et vérifier sur chacun des territoires pour limiter leur interprétation.

  • Assemblée Générale 2017

    Notre assemblée générale aura lieu le vendredi 15 décembre 2017 à la maison des entreprises et des territoires d'Argentan (12 Route de Sées), à partir de 9h30. Tous nos adhérents y sont conviés. Le programme de la journée sera le suivant : 9 h 30 Accueil des associés et invités 10 h 00 Assemblée Générale Ordinaire : - Rapport de gestion du conseil d’Administration pour l'exercice clos au 30 Juin 2017 - Bilan financier de la société de l'exercice clos le 30 Juin 2017 - Rapport du commissaire aux comptes - Approbation des comptes et conventions - Affectation des résultats - Etat du sociétariat et du capital - Election des administrateurs - Pouvoirs pour l’accomplissement des formalités 12 h 30 : Repas 14 h 00: Présentation des conclusions de la mission d’expertise DLA (Dispositif Local d’Accompagnement) par Vincent BRISSE (consultant) : État des lieux de la gestion financière de la SCIC (atouts, faiblesses, perspectives, stratégies d’évolution) 15 h 00 : Présentation du Label Bois Bocager géré durablement 15 h 30 : Présentation du nouveau site internet 16 h 00 : Visite de la chaufferie de Trun avec Argentan Intercom. Nous restons à votre disposition pour toute information complémentaire.

  • Inventaire communal sur la CDC des Hauts-du-Perche

    La communauté de communes des Hauts du Perche, constituée des anciennes communautés de communes de Longny et du Haut du Perche depuis le 1er janvier 2017, est engagée dans l’élaboration d’un Plan Local d’Urbanisme Intercommunal (PLUi). A ce titre, le Parc Naturel Régional (PNR) du Perche et la SCIC Bois Bocage Énergie se sont engagés à conduire une réflexion avec les acteurs locaux sur la trame verte et bleue à cette échelle, ainsi qu’à développer des actions de valorisation économique du bocage. La Trame verte et bleue est un réseau constitué de continuités écologiques, terrestres ou aquatiques, correspondant à des réservoirs de biodiversité et des corridors écologiques. Le PNR et Bois Bocage Énergie sont lauréats d’un appel projet FEADER Normandie, permettant ainsi le recrutement de deux chargés de mission dédié à ce projet, un par structure. Ce projet est conduit en 2017 et 2018.

  • Le Label Bois Bocager Géré Durablement

    La SCIC Bois Bocage Énergie travaille à la mise en place d’un label ou certification « bois bocager géré durablement ». Cela permettra de différencier nos produits sur la traçabilité et la gestion durable du bocage. Il n’existe à ce jour pas d’outil spécifique au bocage. Ce label, d’une portée nationale, est porté par l’AFAC-Agroforesteries à la demande du Ministère de l’Agriculture. L’AFAC-Agroforesteries s'est donc rapprochée de ces membres du Grand-Ouest pour travailler en réseau à son écriture. Ainsi la SCIC Mayenne Bois Energie, pour les Pays de Loire, la SCIC Bocagénèse, pour la Bretagne, et Bois Bocage Energie pour la Normandie travaillent à sa création. Ce dossier comprend quatre grands axes : - la rédaction des cahiers des charges producteurs et revendeurs - la mise en place d'un outil de traçabilité sur support web/SIG - la certification de la procédure de labellisation - la communication et la diffusion de ce label. Cet outil permettra : - aux collectivités qui achètent du bois énergie à intégrer dans leurs appels d'offre cet outil de traçabilité - aux financeurs des chaufferies bois (ADEME, Conseils régionaux, ect.) de conditionner leurs aides à l'utilisation de ce label. Nos partenaires sur ce projet sont : La SCIC Mayenne Bois Énergie : c'est une Société Coopérative d'Intérêt Collectif qui regroupe dans son capital des producteurs de bois, des utilisateurs de chaufferies bois, des communautés de communes, les salariés et des membres de soutien. En savoir plus : http://www.hautemayenne.org/reseau/bois-energie.htm La SCIC Bocagénèse : Lancée en janvier 2013, Bocagénèse est la structure développant la filière bois énergie en Côte d'Amor (Trégor). Elle produit et vend des plaquettes de bois issues presque exclusivement du bocage à destination des chaudières collectives. En savoir plus : http://bocagenese.fr/

  • Fête de la bio : ils alertent les élus sur leur bois déchiqueté

    ​​Le marché des plaquettes de bois est devenu très concurrentiel. Les responsables de la société coopérative d’intérêt collectif (Scic) Bois Bocage Énergie basée à Chanu (près de Flers) ont profité de la Fête régionale de la bio pour rappeler aux élus locaux qu’ils avaient la main pour assurer la valorisation de la ressource locale. Sylvain Aillard a adressé un message en direction des élus. « Vous détenez la clé de contact », a résumé le président de la société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) Bois Bocage Énergie. Basée à Chanu, cette structure organise depuis 11 ans la filière du bois de chauffage déchiqueté entre producteurs (agriculteurs qui valorisent leurs haies) et les usagers (collectivités, particuliers). Après une phase d’expansion, la SCIC Bois Bocage Énergie est confrontée à un ralentissement de son activité. « Il y a nettement moins de projets de chaufferie bois en raison de la baisse des énergies fossiles, explique Sylvain Aillard. Et surtout les chaufferies les plus importantes sont approvisionnées par des grands groupes. Des marchés locaux nous passent sous le nez alors que nous garantissons la fourniture en circuit court d’un bois issu d’une ressource gérée durablement. Mais cette différence fondamentale n’est pas encore prise en considération par les collectivités alors qu’elles ont déjà le moyen de faire figurer des critères de « gestion durable » ou de « volume transporté par kilomètres parcourus » dans le cahier des charges d’un appel d’offres ». Pour se faire entendre et donc regagner des marchés, les acteurs de la Scic misent sur la création d’un label « qui devrait voir le jour dans deux ans ». Un label que l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME, établissement public financeur des chaufferies bois) serait en mesure d’imposer comme critère dans le cahier des charges d’un appel d’offres. A lire sur : www.ouest-france.fr

  • À Flers, la Scic Bois Bocage fête ses dix ans

    La SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) Bois Bocage énergie célèbre ce lundi 27 février ses 10 ans au lycée Jean-Guéhenno. Ses membres feront une présentation des énergies renouvelables et une rétrospective de leurs actions. Le SCIC Bois Bocage, dont l’un des objectifs est le maintien et la valorisation des haies bocagère pour la production de bois, fête ses dix ans ce lundi 27 février dans l’amphithéâtre du lycée Jean-Guéhenno à Flers. Lors de cette soirée, les membres de la coopérative vont présenter une rétrospective des dix ans écoulés. Ils exposeront également un scénario énergétique, réalisé par l’association Negawatt. « C’est un scénario qui montre les pistes de changement pour passer des énergies fossiles aux énergies renouvelables », explique Laurent Nevoux, membre de la Scic. Lundi 27 février, à partir de 20 h, dans l’amphithéâtre du lycée Jean-Guéhenno à Flers. L’entrée est gratuite. A lire sur : www.ouest-france.fr

  • Le bocage fait feu de tout bois

    La coopérative normande Bois Bocage Énergie développe une filière locale en exploitant les haies. L'entreprise a fait des émules, dessinant un modèle économique de circuit court. Lorsque des prairies et des champs cernés de haies bocagères dessinent le paysage, il y a de fortes chances que vous soyez en Normandie. Peut-être même dans l’Orne où des élus, citoyens ou agriculteurs, ont décidé, depuis une dizaine d’années, de préserver ces paysages en y puisant une source d’énergie renouvelable : le bois. En effet, contrairement aux énergies fossiles, qui mettent plusieurs millions d’années à reformer leur stock, le bois est une ressource qui se reconstitue relativement rapidement si elle est bien gérée. L’entretien de ces haies a longtemps été considéré comme une charge par les agriculteurs. Mais depuis 2007, lorsque la coopérative Bois Bocage Energie (B2E) est créée à Chanu, dans l’ouest du département, elles sont devenues une source de revenus complémentaires. Cette société coopérative d’intérêt collectif (Scic) achète aux agriculteurs le bois déchiqueté issu des coupes d’entretien pour le revendre, après séchage, sous forme de plaquettes aux utilisateurs de chaudières à bois. A Chanu, la maison de retraite était déjà équipée d’une telle chaudière au moment de la création de la Scic et fut l’un des premiers clients. Il a fallu convaincre ensuite des particuliers, mais surtout des communes et des communautés de communes d’opter pour ce mode de chauffage dans leurs écoles, mairie, logements communaux... Bois Bocage Energie couvre aujourd’hui l’ensemble des zones rurales du département jusqu’au Perche, avec un réseau d’une dizaine d’antennes locales qui sont autant de circuits courts du bois énergie. Chaque antenne coordonne sur son territoire l’offre des agriculteurs et la demande des clients, tout en veillant à une gestion responsable de la ressource. Un objectif environnemental Les 25 sociétaires présents à la création en 2007 sont devenus 200 aujourd’hui. On retrouve parmi eux des agriculteurs (140), des collectivités (une vingtaine), mais aussi des clients privés, les salariés de la Scic et des organisations partenaires, comme des associations de défense de l’environnement. C’est l’avantage du statut de Scic : à la différence des sociétés coopératives et participatives (Scop), il n’associe pas seulement les salariés à la gestion de l’entreprise comme sociétaires, mais potentiellement toutes les personnes intéressées à un titre ou à un autre au projet, au sein de différents collèges qui regroupent chaque catégorie de sociétaires. Selon Jean Huet, chargé de mission au sein de l’inter-réseau des Scic, "le statut Scic permet en particulier d’internaliser les conflits potentiels entre les différents acteurs, notamment en ce qui concerne les prix". Autrement dit, l’activité économique, ainsi gérée, peut plus aisément rester un outil au service de l’intérêt collectif qu’est la préservation des haies bocagères. "Nous réalisons pour chaque agriculteur un plan de gestion de ses haies, afin de garantir le renouvellement de la ressource", souligne Laurent Nevoux. Une question qui ne préoccupe que trop peu les grands opérateurs. Un rapport demandé par le ministère de l’Agriculture, en amont d’un plan d’action pour l’agroforesterie prévu d’ici fin 2015, a rappelé récemment tous les effets bénéfiques des plantations d’arbres et de haies sur l’espace agricole : enrichissement des sols, captation d’eau profonde qui irrigue la terre, mais aussi capture des excédents de nitrates dus aux intrants chimiques, effet parasol pour l’élevage l’été, atténuation de l’érosion des surfaces cultivées et, bien sûr, production de bois, aujourd’hui valorisable. Le plan d’action devrait fixer des objectifs d’augmentation des haies bocagères, qui reculent aujourd’hui chaque année de 1 %. Le modèle de B2E a fait des émules. Actuellement, 22 Scic sont en activité dans le secteur du bois énergie, principalement dans l’ouest de la France. Et d’autres projets sont en gestation. La ressource bois provient tantôt du bocage, tantôt des forêts, mais aussi des rebuts des scieries. Pérenniser le modèle La multiplication des Scic sur cette activité ne doit toutefois pas masquer les difficultés auxquelles elles doivent faire face. Paradoxalement, la croissance à deux chiffres (+ 23 % en 2013) du bois énergie est source de contraintes supplémentaires. Cette croissance est le fruit de la multiplication des centrales thermiques de grande puissance utilisant la biomasse. Le Fonds chaleur, mis en place en 2009 par les pouvoirs publics, a en effet incité les grands groupes de l’énergie et les collectivités locales à investir dans des réseaux de chaleur urbains fonctionnant au bois. A Rennes, par exemple, le bois contribue aujourd’hui à hauteur de 52 % à la production de chaleur pour le réseau urbain. Lorsque les gros énergéticiens se sont lancés (EDF, Engie et maintenant Total), "il y a eu un appel d’air sur la demande de bois", raconte Laurent Nevoux, gérant de Bois Bocage Energie. Les forêts françaises ont beau être parmi les plus importantes d’Europe, elles ne sont que peu exploitées, et toutes les sources d’approvisionnement étaient bonnes à prendre : bois industriel (résidus de scierie, papeterie...), bois forestier, bois de haies... et les prix ont grimpé. Du coup, la concurrence est devenue plus rude : "des sociétés qui assurent l’abattage, le déchiquetage et le transport pour ces grosses centrales contactaient les agriculteurs de la Scic pour tenter de leur acheter leur bois sur pied", s’inquiète Laurent Nevoux. Cette forte pression sur la ressource a effrayé nombre de petites collectivités, qui ont mis en sommeil leurs projets de chaufferies bois, craignant de ne pouvoir s’approvisionner. Or, ces collectivités rurales sont le coeur de cible de la plupart des Scic telles que Bois Bocage Energie. Résultat : des cycles violents. "Il y a dix-huit mois, nous n’avions plus que trois mois de stock ; les prix étaient montés de 30 %. La pression était très forte. Aujourd’hui, nous sommes en surplus", constate Emmanuel Lelièvre, gérant de la Scic Mayenne Bois Energie. "Il nous a fallu réagir vite, explique le gérant de B2E. Les marges sur la vente de plaquettes sont faibles et il faut atteindre un volume d’au moins 5 000 tonnes par an. Pour améliorer notre résultat net, nous avons décidé d’élargir le champ de nos prestations." La Scic propose désormais aux collectivités un service global, de l’installation de la chaudière à la fourniture de bois en passant par la maintenance. "C’est nous qui prenons le risque à la place de la collectivité puisque nous investissons dans la chaudière et nous vendons du kWh de chaleur. Cela demande une ingénierie financière beaucoup plus importante, et il nous faut nous entourer d’entreprises partenaires pour l’installation et la maintenance à trouver sur le territoire", explique-t-il. Pour ce faire, Bois Bocage Energie a pu s’inspirer de l’expérience d’Ere 43, une autre Scic située en Auvergne. "Nous avons conçu en 2006 un projet modulaire, c’est-à-dire une chaufferie adaptée aux petits équipements : une école et quatre maisons, un restaurant équipé d’une balnéothérapie, une maison de retraite... Et nous proposons un service de l’arbre au radiateur", explique Jacques Villevieille, cofondateur et gérant d’Ere 43. La Scic gère ainsi une vingtaine de chaufferies dans un rayon de 30 km autour de son siège social et trois personnes travaillent pour son compte à temps plein, contre deux aujourd’hui à B2E. De fait, les 22 Scic existantes sur ce créneau restent des petites entreprises tant sur le plan du chiffre d’affaires (de 150 000 euros pour les plus jeunes à 700 000 euros pour les plus développées) que des ressources humaines (un à trois emplois directs). B2E s’est aussi résolue à vendre des plaquettes à des chaufferies de plus grande taille. C’est une entorse à l’engagement initial de la Scic de ne travailler que pour des petites chaufferies rurales. Mais la nécessité d’atteindre le seuil de 5 000 tonnes par an pour assurer l’équilibre financier a primé. "Avec trois grosses chaudières qui s’installent à une vingtaine de kilomètres de nos plates-formes, on ne pouvait pas passer à côté", explique Laurent Nevoux. Le bois, lorsqu’il est brûlé, libère évidemment lui aussi du CO2. Mais tant que sa combustion ne se traduit pas par de la déforestation et ne fait que libérer le CO2 stocké précédemment pendant la croissance des arbres, il reste beaucoup moins polluant que d’autres sources de chaleur : les émissions de CO2 nettes sont en effet divisées par douze par rapport au fioul et par six par rapport au gaz, selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). Le chauffage au bois émet en revanche potentiellement de nombreuses microparticules susceptibles d’entraîner de graves pollutions locales. Mais celles-ci peuvent - et doivent - être retenues par des filtres avant d’arriver dans l’atmosphère. Depuis trois ans, le chiffre d’affaires de B2E augmente fortement. Il flirte aujourd’hui avec les 500 000 euros et la Scic a dégagé ses premiers bénéfices en 2012. Huit ans après sa création, elle a passé un cap. Mais il lui reste à mieux valoriser la singularité environnementale et économique de sa démarche pour que le modèle soit véritablement reconnu et adopté. Notamment par les petites collectivités. Alternatives Economiques n°350 - 10/2015 Philippe Chibani-Jacquot A lire sur : www.alternatives-economiques.fr

  • Le bocage Normand en direct sur France Culture, samedi 13 juin

    Ce samedi 13 juin, l’émission radio « Terre à Terre » de Ruth Stegassy sur France Culture était consacrée au Bocage normand à Flers, avec notamment Laurent Nevoux de la SCIC Bois Bocage Énergie. A réécouter ici : www.franceculture.fr

  • Les Scic du secteur bois énergie pensent leur avenir en collectif

    Le 24 avril dernier, les SCIC de la filière bois énergie se rencontraient pour partager leur expérience et les pistes de travail en commun pour pérenniser, développer et essaimer leur modèle. Voir ce magazine ici : www.les-scop.coop

bottom of page